Escargot !

Je lis à la vitesse à laquelle se déplace un gastéropode. Le cerveau en ébullition ou gelé et surtout passant d'un stade à l'autre, sans parler des températures extérieures qui font pareil, me collant soit froid soit chaud dans les transports, mon lieu privilégié de lecture, les pages se tournent tout doucement.
Alors je ne vais pas attendre d'avoir terminé De Niro's Game pour en parler. Voici la nouvelle "lecture imposée" proposée par Denoël éditions. Après la Fausse Veuve, pour qui je n'ai pas eu un commentaire très flatteur, chez-les-filles est tout de même revenu vers moi (comme quoi, ils sont honnêtes !). Cette fois, le résumé m'a plus attirée : Beyrouth, l'amitié de deux jeunes hommes, leurs combines pour survivre dans le contexte particulier de la guerre civile.
Pour l'instant, j'ai du mal à rentrer dans l'histoire, tout en continuant à être attirée... Le style est un peu hâché et ne me facilite pas la tâche. A moins que ce ne soit mon contexte perso du moment. J'ai du mal à faire la part des choses, alors je poursuis ma lecture. Sauf que cela fait 2 jours de suite que je l'oublie dans la mallette de mon pc portable (je jongle entre mon cartable-plein-de-trucs-inutiles-et-surtout-de-mes-livres et ma mallette de pc quand je navigue entre deux sites de la boîte...)

Essaie encore...

Comments

[bri]

j'ai plongé dans le livre,contente de percevoir"de l'intérieur" cette fameuse guerre civile et fratricide quelquefois difficilement compréhensible vue de chez nous,je me suis laissée entraîner par le style très en adéquation avec le sujet...MAIS la dernière partie(Paris),alors là (bien que les aventures mésaventures du personnage ne soient pas invraisemblables après sa vie libanaise),j'ai décroché,ne me suis pas intéressée aux personnages parisiens et pressé le pas pour finir la lecture...dommage mais vive la littérature et tous ses possibles